Le roi des Huns possède la seule négociation d’orient en possédant une bague : la bague de la promesse que lui a envoyé la sœur de l’empereur d’Orient Valentinien III qui se nomme Honoria.
Le frère d’Honoria est un homme austère et intransigeant qui veille avec suspicion à la virginité sororale (qui concerne la sœur). Il fait exécuter les amants de sa sœur mais elle est enceinte alors on la fiance vite à un vieux sénateur et ils enferment la dame dans un couvent en entendant le mariage.
La jeune princesse Honoria envoie alors la bague à Attila en lui promettant tout ce qu’il veut et tout ce qu’il imagine pourvu qu’il vienne la délivrer. Attila prend cette affaire très au sérieux et pressé le roi des Huns demande et exige une dot.
Qu’est-ce qu’un roi Hun peut demander en cadeau de noces à un empereur romain ? Attila demanda la Gaule.
Valentinien III est un peu accablé par la naïveté balourde de ce monarque barbare ; c’est du délire, une Gaule pour un mariage et puisqu’on ne veut pas le lui donner, Attila décide de prendre cette terre.
C’est un homme venu au monde dans un entrechoquement de races. Il était d’allure altière, un regard singulier et mobile, si bien que chacun de ses mouvements traduisait l’orgueil de sa puissance. Amoureux de la guerre, il savait ménager sa force, et très capable de réflexions.
De petite taille, sa large poitrine, sa grosse tête, des yeux minuscules, sa barbe rare, sa chevelure hérissé, un nez trop court, noirceur de son teint, sous sa sauvagerie, il y avait un homme fin et rusé, qui avant d’entreprendre une guerre combattait avec une habile hypocrisie.
Attila aurait terminé son harangue adressé aux guerriers avant la bataille décisive de sa vie par ces paroles : «Quiconque peut rester froid quand Attila combat, est déjà enseveli».
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire