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28 mars 2016

Conséquence et fin proche de Chilpéric Ier 585


Chilpéric Ier revient de la chasse à Chelles. Il allait descendre de cheval  lorsqu’un homme le frappa de deux coups de couteau. Frédégonde à son tour se trouva veuve. L’assassin n’était autre que l’amant de Frédégonde  commanditée par sa propre femme. Cette même année un fils de Chilpéric Ier et de Frédégonde naquit sous le nom de Clotaire II (le Jeune).

Frédégonde est libre d’agir à sa guise et elle partage sa vie entre la luxure et le crime. Elle ordonne à l’un de ses amants de faire assassiner sa rivale Brunehaut.

Une reine qui complote avec ses amants

 Le complot avec le jeune amant fût découvert et le jeune amant est jeté en prison. Il est torturé et il dévoile le nom de celle qui l’avait envoyé. On le  relâche. Il crut bon alors d’aller rendre compte de son échec à son amante Frédégonde.

La femme terrible entra dans sa colère et elle lui fit couper les pieds et les mains. Frédégonde organisa un second complot dans le but de faire assassiner Brunehaut mais encore son fils Childebert. Le complot échoue de nouveau.

Pour Frédégonde faire disparaître sa rivale et ses descendants était le seul moyen de permette à son fils Clotaire II âgé de 8 ans de recevoir un jour l’Austrasie et un jour l’héritage de la Burgondie sous sa tutelle.

La trêve façon Frédégonde Une épidémie avant un roi Ou les amants de Frédégonde 580


Une trêve pour quelques années de Frédégonde qui sembla se désintéressée de l’Austrasie. Pourtant elle ne resta pas inactive. Tous son temps était pris par la mise au point de supplices nouveaux qu’elle inventait pour faire souffrir ceux qui la servaient mal ou qui avaient le malheur de posséder un visage qui ne lui plaisait pas. 

Une épidémie de dysenterie s’abat sur la France. Tout les enfants de Frédégonde moururent. Chilpéric et Frédégonde eurent ensuite un autre enfant. Le futur Clotaire II.

Frédégonde se sentant plus ardente fît entré dans son lit tous les hommes de belle tournure qu’on lui présentait. Ainsi elle eut pour amant, des ducs, des militaires, des palefreniers, des gardes de palais et même l’évêque Bertrand de Bordeaux.

 La gaffe d’une reine c’est la mort pour son roi
584
 Frédégonde est occupée à faire sa toilette dans sa chambre quand vient Chilpéric son mari. Croyant avoir à faire à son amant elle ajoute quelques paroles assez gaillardes ; croyant avoir à faire à son favori. Lorsqu’elle s’aperçut de sa méprise, épouvantée elle craignit la colère du roi. Elle pensa qu’elle ne perdrait rien pour  attendre. Le soir même elle projeta de faire tuer son mari.

Conséquence et fin proche de Sigebert Ier Ou par la voie de Salomon 575


Sigebert  ne peut se consoler de ses pertes de ses cités alors il envahit brusquement le territoire Austrasien et ce fût de terribles combats. Sigebert avait appelés en plus des troupes barbares d’outre-Rhin. Chilpéric fut vaincu et il alla se réfugier à Tournai. Tandis que  Sigebert entra à Paris et retrouva son fils Childebert et Brunehaut.

Sigebert se rendit à Vitry où une assemblée devait le proclamer roi de Neustrie après avoir proclamé la déchéance de Chilpéric Ier mais hélas le règne de Sigebert en Neustrie fut court car a peine fut il élevé sur un pavois selon la coutume, que deux hommes envoyés par Frédégonde le tuèrent. Donc Sigebert Ier est acclamait; ils heurtèrent leurs épées contre leur pavois, lorsque deux guerriers se présentant pour le saluer lui plongèrent leur couteau dans les côtes. Ils avaient été corrompus par l’ignoble Frédégonde.     

Deux sbires enfoncent dans la poitrine de Sigebert Ier leur scramasaxe (petit sabre à la lame droite trempé dans du poison qui était une arme privilégiée des mérovingiens et de leurs hommes de mains).

L’abbé Germain grondera «voici ce que dit le seigneur par la bouche de Salomon; celui qui aura creusé une fosse à son frère y tombera lui-même».
Effectivement dix plus tard à son tour le jeune Chilpéric Ier mourra assassiné à son tour poignardé après une partie de chasse par un inconnu qui parviendra à s’enfuir.

Deux reines, deux belles- sœurs

  Brunehaut est donc veuve et elle est à la merci de Chilpéric Ier. Elle est sa prisonnière.C’est ici que Brunehaut manifesta son sang royal : passant outre sa douleur, elle offrit à sa sœur aînée le  meurtrier et à Chilpéric Ier son époux son alliance et sa main.  Pour Brunehaut tout est perdu, elle est reléguée.

Mais Dieu lui envoie un amoureux ; un fils de Chilpéric Ier du nom de Mérovée. Un fils qu’il avait eut avec Audovère (la chose ne vaudrait pas la peine d’être mentionnée mais le destin à toutes ses malices). Cette idylle pris un tour plus sérieux, car il épousa Brunehaut. Chilpéric est furieux mais elle réjouit Frédégonde car depuis longtemps, elle cherchait à se débarrasser des fils de son époux !  Elle avait déjà fait tué Théodebert l’ainé et elle tenait maintenant le moyen de faire éliminer Mérovée.

Hélas poursuivi par la haine de Frédégonde, Mérovée est contraint de se faire clerc. Il est tonsuré et proscrit dans un couvent. La ‘noble’ Brunehaut le renvoie. Mérovée est abandonné de tous et il n’a d’autre ressource que celui de prier à un ami de lui passer son épée au travers du corps. Son ami lui rend se service.

Les deux fils de Chilpéric Ier moururent, il ne resta plus que la fille d’Andouère (‘première servante ‘de Chilpéric Ier) qui résistée à Frédégonde.

Elles se battaient ; un jour, Frédégonde ouvre un coffre plein de bijoux qu’elle brassées les pierreries comme fatiguée de ces mouvement en disant «je suis lasse, met-y-toi-même les mains et prends ce que tu voudras».
La fille s’avança se penche pour atteindre le fond et Frédégonde abaisse le couvercle qu’elle pressa sur le cou de la fille. Par chance, il lui vint du secours.



Portrait de Brunehaut De 547 à 613 et de Frédégonde De 545 à 597


Brunehaut avait un teint d’une blancheur admirable. Ses yeux étaient vifs,  elle animée une grâce surprenante que sa taille libre et proportionnée était parfaite. Brunehaut était une beauté et de plus elle parlait le latin.

Frédégonde l’ignoble était au contraire qu’une servante, belle assurément mais qui se hissa jusqu’à la couche de Chilpéric Ier par la ruse et l’assassinat.

Frédégonde règne sur la Neustrie, tandis que Brunehaut règne à l’est, sur l’Austrasie. Elles ont environs 20 ans  chacune et elles se vouent une haine mortelle.

                       Les rivalités de Frédégonde et de Brunehaut

 Chilpéric Ier (fils de Clotaire Ier) et son épouse du nom de Frédégonde sont en rivalités avec son frère Sigebert Ier et son épouse la noble Brunehaut. Avant d’être sa femme, Frédégonde fut la concubine de Chilpéric et Brunehaut  était  la fille d’un roi wisigoth.

Il ne nous reste qu’une vague impression de cruauté et d’horreur; laquelle des deux reines a la plus mauvaise réputation, laquelle a survécu à l’autre.

Frédégonde et Brunehaut sont les plus cruelles harpies que la marche des trônes Francs n’est jamais comptée.
Frédégonde, poussée, non par une inspiration politique, mais par l’instinct de cupidité qui lui était naturel, conseilla à son époux (Chilpéric Ier) de procéder à un recensement général de biens ; voila donc les hommes du ‘fisc’ lâchés sur tout le territoire de son royaume, le royaume de Neustrie où ils recensent. Mais les collecteurs édictent de nouvelles règles et ils inventent de nouvelles taxes sur les champs, les bois, les maisons, le bétail, les esclaves et surtout sur les terres à vigne.

Les collecteurs

 Le ‘métier de collecteur ’comporté de réels danger. A l’époque, nommer  quelqu’un  responsable de la perception des droits sur les terres fiscales était  interprété comme une condamnation à mort. Frédégonde commença alors à commander des assassinats et des rapines. Son  mari le roi Chilpéric la  laissa faire.

 Dépense de l’état mérovingien

 Les dons royaux sont très minces et les fonctionnaires ne touchent pas de Traitement, ils se payent directement sur le peuple, se comportant souvent en tyrans. L’armée ne coûte rien : les hommes mobilisés doivent supporter les frais de leur équipement et de leur entretien.



Chilpéric Ier et la surenchère du mariage Chilpéric Ier un roi tuant une reine Ou une fausse reine devient reine


Le roi Wisigoth donna sa fille (Galwinthe); à la condition qu’il s’engagea à se séparer de toutes ses concubines.

Donc Chilpéric jaloux épousa une autre femme et il répudia Frédégonde d’autant plus que la dot fût apporter pour Galswinthe (sa nouvelle femme). La cérémonie du mariage se passa à Rouen avec encore plus d’éclat.

Mais le ménage ne dura que quelques mois car Frédégonde avait obtenue de rester à la cour attachée au service du palais. Chilpéric ne put résister à rentrer dans ses
appartements. Dès lors, la vie était intenable pour Galwsinthe. Le jour elle était bafouée et la nuit, elle dormait seule. Elle demanda au roi de pouvoir rentrer chez elle ce qui lui fut refuser et Chilpéric lui disant que ses nuits seront désormais moins monotones.

 Chilpéric Ier tint sa parole. Il fît assassinée  Galwinthe par ses serviteurs, étrangler pendant son sommeil. On suppose aussi que Chilpéric craignait de perdre le trésor de la dot qu’elle avait apportée. Frédégonde épousa Chilpéric Ier et cette fois elle était officiellement la reine de Neustrie.


Le frère roi de Burgondie  Gontran Ier médiateur
573
Le meurtre de Galswinthe déplu à Brunehaut et elle alla trouver son mari  Sigebert Ier pour lui demandé de faire la guerre à Chilpéric son frère. Le roi de Burgondie Gontran Ier proposa un arrangement qui fut accepté par ses deux frères.

· Sigebert et Brunehaut renonçaient à leur droit de vengeance en échange des villes de Bordeaux, Limoges, Cahors et Tarbes que la reine Galswinthe avait apportées en dot à Chilpéric. La paix était sauvé mais pas pour longtemps.


Les rivalités de Chilpéric Ier et de Sigebert Ier Ou l’âge ingrat


Sigebert épousa la noble et jolie Brunehaut, son frère Chilpéric se sentit ‘morveux’ et il fit demander la sœur aînée de Brunehaut qui était Frédégonde mais la réputation de Sigebert lui causa quelques difficulté : il dut jurer à la futur reine qu’il renverrait toutes ses concubines et épouses.

La sœur aînée Frédégonde apporta un trésor à Chilpéric et elle l’épousa donc.
Les deux frères ayant épousé les deux sœurs ; allions nous connaître enfin la paix ?  Hélas, Frédégonde fut répudiée, mais rusée elle resta au palais comme servante et  bientôt le roi retombera sous le joug de son épouse Frédégonde. 
Et sa recommence
Ou trois rois pour Paris

 Chilpéric à plusieurs reprises essaya de faire assassiner ses deux frères ( Gontron et Sigibert) ; non émus, le meurtre à l‘époque était alors considéré comme un acte de vie quotidienne et Chilpéric se souvenait de la façon désinvolte dont son père Clotaire Ier s’était débarrassé de ses neveux face à Clotilde.

Pendant dix sept ans, on ne sait pas qui règne sur la ville, mais les habitants s’en portent bien si l’on peut dire; les habitants s’étripent en des luttes fratricides. Le roi Sigebert Ier est occupé à repousser des Barbares de l’est, tandis que le jeune Chilpéric Ier lui en profite pour voler la ville de Reims à son frère.

Chilpéric sera encerclé à Tournai et vaincu. Son seul espoir est de créer une débandade dans les troupes de Sigebert Ier et pour obtenir ce prodige, il faut faire assassiné son frère. Les vaincus cherchent dans les fourberies et le crime la victoire que le sort des armes leur refuse. Avec l’aide des Germains, Sigebert entra sur Paris et il poursuivit son frère Chilpéric jusqu’à Tournai.

Sigebert Ier reprendra sa ville et pour se venger il dérobera la ville de Soissons. Une nouvelle éruption barbares rappelle Sigebert dans le Rhin et le roi fût prisonnier et libéré après une rançon. Cette intermède avait donné espoir à Chilpéric qui reprend la guerre contre son frère.

Instruit de ces méthodes (héritage de leur père Clotaire Ier à l’assassinat de ses neveux) Sigebert Ier et Gontran Ier se tenaient sur leurs gardes. Ceux qui ne les empêcha pas de vivre dans la débauche.

Chilpéric avait aussi une vie de débauche et complètement dissolu et bien qu’il possédât un véritable sérail (palais des princes musulman)  ou chacune avait le titre de «reine» celle du moment se nommée Frédégonde mais il n’hésitait pas à trousser ses servantes et sa «reine» du moment se nommait Audovère.

Servante contre servante pour un trône
Ou la diabolique Frédégonde


Pendant cette guerre entre les ‘deux servantes’(Frédégonde et Audovère), Chilpéric Ier dû partir en guerre contre les Saxons et pendant son absence, Audovère mis au monde un enfant; une fille (donc un bâtard).

Frédégonde eut l’idée de proposer à Audovère de faire baptiser l’enfant sans attendre le retour du roi en y ajoutant qu’elle en serais elle-même la marraine. Audovère accepta.

Le roi revient et Frédégonde demanda à Chilpéric «avec qui coucherait-vous cette nuit ?» Frédégonde lui expliqua la naissance de l’enfant et qu'elle en était la marraine (à cette époque les relations entre père et marraine d’un enfant étaient alors tenus pour incestueuses donc interdit par l’église).

Chilpéric dit «si je ne peut coucher avec elle, je coucherai avec vous !» Plus tard Audovére sera répudier et enfermée dans un monastère.


27 mars 2016

Isidore de Séville : savant, écrivain latin, encyclopédiste De 560 à 636

600.

Un prélat catholique du nom d’Isidore de Séville justifiait en ces termes «l’esclavage : Dieu dans son équité a crée les uns esclaves et les autres maîtres. Il disposa ainsi de la vie des hommes, à telle fin que la licence des esclaves fût réduite par l’autorité des maître».

Petit à petit la position économique et juridique des esclaves se modifiait. Ils obtenaient l’indépendance économique, recevaient des parcelles, des instruments de travail, le droit de disposer de leurs biens, une famille, ils pouvaient intervenir en justice et les châtiments furent moins lourds.

 L’abstinence de la viande

 «L’absorption de la viande entraîne un pêché de chair» argument reprit encore au   VIème siècle par Isidore de Séville.

Il écrit «les aliments carnés (aliment qui se compose surtout de viande) engendrent la luxure et la chair, ils ont un effet chauffant, à nourrir tous les vices».

Pour les chrétiens, le sang et le sperme, sont considérés comme abominables.
L’âme d’un animal ou celui d’une personne réside dans le sang, raison pour laquelle il ne faut en aucun cas manger de la  viande non saignée ou étouffée.

Dans l’ancien testament, on retrouve plusieurs mises en garde sur le sujet «vous ne mangerez point de chair avec son âme et son sang . Garde toi de manger le sang, car ce sang est l’âme et tu ne  mangeras pas d’âme avec la chair».
Pour pallier à la carence dû au manque de viande, de nombreux aliments sont utilisés, notamment le poisson. Le vendredi est devenu le jour maigre’ le jour saint’.

Saint Isidore de Séville. De Murillo Estéban Bartolomé _ Espagnol

26 mars 2016

L’Islam en soixante dix ans Ou le paradis par les armes


Il n’y à pas dans le monde un fait comparable pour l‘universalité et la soudaineté des conséquences à l’expansion de l’Islam lors de ce début du VIIème siècle. La rapidité foudroyante de sa propagation n’est pas moins surprenante que l’immensité de ses conquête. Depuis la mort de Mahomet, il n’a fallu à l’Islam que soixante dix ans pour se répandre de la Mer de Chine à l’océan Atlantique.

· 637 à 644.
Rien ne résiste; ils enlèvent l’empire Perse et l’empire Byzantin.

· 634 à 636.
Ils enlèvent la Syrie.

· 640 à 642.
Ils enlèvent l’empire d’Egypte.

· 698.
Ils sont en l’Afrique.

· 711
Ils envahissent l’Espagne, à cette date, le dernier roi Wisigoth Rodéric disparaît dans la bataille de Cadix. La marche envahissante prendra fin devant les soldats de Charles Martel dans la plaine de Poitier en 732.
Elle s’arrêtera; mais cette première force d’expansion épuisé avait suffi à changer la face de terre.

C’est en fait de ce vieil empire Perse qui héritier de l’Assyrie et de Babylone, de ces région héllénisées de l’Asie (qui ont constitué l’empire d’Alexandre le Grand) de cet antique Egypte dont le passé se conservait encore sous le couche Grecque que recouvraient encore les Ptolémées, de ces provinces Africaines conquises par Rome sur Carthage que tous cela désormais est soumis à l’obédience religieuse et politique du    potentat le plus puisant qui n’ait jamais existé; le Califat de Bagdad.

Tout cela est l’œuvre d’un peuple nomades resté jusqu’alors à peu prés inconnue dans des déserts pierreux méprisé par tous les conquérants. Ils ‘brisent ‘ leurs vieilles idoles pour passer brusquement au monothéisme ‘le plus pur qui soit’ et de ses devoirs envers Dieu d’une conception d’une simplicité redoutable «obéir à Allah et contraindre les infidèles à lui obéir».

Pour Mahomet, la guerre Sainte devient une obligation morale car elle porte en elle-même sa récompense; les guerriers tombés les armes à la main jouiront des béatitudes du paradis.


Succession de Mahomet


Son successeur, fut le calife Abu Bakr et en 634, ce fut Omar. Les peuples qui voyaient arriver ces croyants animés de foi fanatique étaient paralysés d’effroi.

Six ans après la mort de Mahomet, les troupes arabes avait déjà conquis la Palestine, la Perse et l’Egypte. La ville d’Alexandrie connut le sort de l’abondant pillage et au moment de sa chute, on aurait demandé au calife Omar ce qu’il fallait faire de la prestigieuse bibliothèque qui conservait plus de 700.000 ouvrages.

 Omar aurait répondu «si ces ouvrages contiennent ce qui est déjà écrit dans le Coran, ils sont inutiles et s’ils comportent des choses différentes de celui qui est écrit dans le Coran, ils sont inutiles». Mais on ne connaît pas la vérité.


Le Coran


Les Mecquois ayant gardé le souvenir d’un homme pauvre et raillé (moquer). Ils le virent pour la première fois le prophète dans toute sa puissance et beaucoup se  convertirent.

Mahomet, conquis la ville, épargna ses habitants et il se contente de vider le sanctuaire de ses images idolâtres. Son prestige et son pouvoir devinrent immense.
 
Peu de temps après sa mort, il prêcha devant plusieurs millier de pèlerins, leur rappelant qu’il n’y avait qu’un seul Dieu et que lui Mahomet en était le prophète, qu’il fallait faire la guerre aux infidèles et il leur demanda de prier cinq fois par jour le visage tourné vers la Mecque, de ne pas boire de vin et de se montrer vigilant.


 Dans le Coran, Mahomet écrit de combattre les infidèles et dans d’autres passages de tuer les  idolâtres, de les capturer, de les assiéger, de rechercher partout où ils se trouvent; mais s’ils se convertissent, il faut les relâcher et les laisser vivre en paix.

Mahomet : prophète islamiste Fondateur de l’islam De 570 à 632

Hégire : Médine



Hégire ; cette ville est rebaptisé Médine et Mahomet leur appris qu’ils ne devaient craindre que Dieu (dieu qui se dit en arabe Allah).

Il leur expliqua, que toute crainte envers les hommes, ou envers toute chose était  injustifiés, puisque dieu avait déjà décidé de leur avenir. Il leur écrit un grand livre.

Ce qui doit arriver, arriva quoi que nous fassions. Même l’heure de notre mort est  arrêter le jour de notre naissance. Nous devons donc nous soumettre à la volonté de Dieu. La soumission à la volonté de Dieu se dit «islam» en arabe; d’où le nom donné à la religion de Mahomet.

Mahomet dit aussi à ses fidèles qu’ils auraient à se battre pour leur foi et que tout cela n’était pas un pêché de tuer un incroyant; que le vaillant guerrier, mort pour sa foi, pour Allah et son prophète Mahomet irait aussitôt au paradis et que l’incroyant irait en enfer. Dans ses prédications, le prophète racontait les visions et les multiples révélations qu’il avait eues (ce qui donnera le Coran) il leur faisait une description idyllique du paradis.

Un pauvre peuple qui, vivant dans un désert brûlant ai pu être sensible à une telle image du paradis et qu’il se soit montré prêt à combattre et à mourir pour y être accepté n’est pas intolérable.
Vint le jour ou le prophète accompagné de plus d’un millier d’hommes en armes, entreprit un pèlerinage à la Mecque.

Le royaume de Lombards 568


Des tribus Lombardes envahissent l’Italie; cette confédération (association d’États indépendants qui ont délégué l’exercice de certaines de leurs compétences à un pouvoir central, constitué par un organisme de coordination dont presque toutes les décisions doivent être prise à l’unanimité des État membres) s’était constituée sur le haut du Danube, en Norique et en Pannonie. Les contemporains  soulignaient l’extraordinaire sauvagerie de ces barbares qui dévastaient tout sur leur passage.

Ils avaient conquis le nord et le centre de l’Italie : Bénévent et Spolète. Les Byzantins conservaient le sud de l’Italie et la Sicile. Les Lombards s’établirent nombreux le long de la vallée du Pô qui plus tard s’appellera la Lombardie.

L’histoire du royaume des Lombards est tissée de querelles où rois et ducs s’affrontent pour conquérir le pouvoir et l’influence et cette lutte affaiblissaient le pouvoir royal.