Le terme catholique se traduit par le Grec Katholikos qui signifie universel.
Cette divinité figure sur ses pièces de monnaies jusqu’en 319 ; mais Constantin avait déjà révélé son adhésion personnelle à la foi chrétienne. Durant plusieurs années, il prit des mesures officielles favorisant les chrétiens. Cette ’promotion’ faite à l’église fut l’un des phénomènes les plus étonnants de l’histoire de Rome.
Il faut aussi compter que mise à part de l’ennemi de l’extérieur, il y a l’ennemi de l’intérieur : les chrétiens dont les croyances ne s’accordent pas avec celle de Rome. Constantin Ier Comprend vite que deux ennemis c’est trop. Il cherchera alors à s’allier dans le christianisme, il l’utilise comme instrument de son pouvoir. L’église à besoin de lui aussi car elle doit aussi faire face à une hérésie ; celle du prêtre Arius d’Alexandrie.
Constantin Christ le nouveau soleil
335
C’est sa naissance qui est célébré symboliquement à chaque Noël chrétien depuis le 25 Décembre
Deux crises majeures ont mis en danger cet empire.
· La première.
Un déferlement d’invasions barbares en Europe qui eut pour résultat de scinder l’empire en deux.
· La seconde.
Au début, du XIIIème siècle avec la prise de Constantinople par les croisés en 1204 lors de la quatrième croisade.
La chute de l’empire interviendra en 1453.
L’empire romain tolère la prostitution
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Le premier empereur chrétien sait de quoi il parle, car sa mère, la future Sainte-Hélène, a été tenancière de gargote avant d’épouser le général Constance Chlore. Constantin fera exécuter son fils du nom de Crispus ; puis sa propre femme du nom de Fausta. Fausta avait accusé son fils d’avoir tenté de la séduire avant que l’on découvrit que c’est l’inverse qui s’était produit.
Un baptême pour un empereur romain
Ou le treizième apôtre du Christ
C ’est donc à l’extrême fin de sa vie, que l’empereur Constantin Ier se fit baptiser. A cette date, la révolution chrétienne était bien avancée dans tout l’empire.
L’avènement du christianisme est marquait par un monde nouveau, Constantin Ier était conscient de l’ampleur et du caractère sacré de sa tâche. Il se considérait comme le treizième apôtres du Christ et le régent qui gouvernait la nouvelle Rome au nom de dieu.
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