Son empire en Orient, réunissait tous les fastes et lui-même et sa femme du nom de Théodora qui était une ancienne danseuse portait des vêtements taillés dans de lourdes étoffes en soie rehaussées de pierres précieuses et de colliers d’or, des perles qui tintaient au moindre de ses gestes.
Théodora était une femme intelligente, audacieuse et autoritaire, qui s’était fait une réputation scandaleuse par ses aventures avant son mariage avec l’empereur.
A Constantinople, Justinien fait construire une église gigantesque surmontée d’une imposante coupole qu’il nomma Hagia Sophie (sainte Sophie).
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Justinien aimait le luxe, il était animé d’une grande ambition ; celle d’étendre son pouvoir en reprenant le ‘vieil’ empire romain d’Occident.
Forte des ressources immenses accumulées grâce à une exploitation sans merci, la classe dirigeante de l’Empire s’orienta vers une politique de réaction à l’intérieur comme à l’extérieur.
Justinien possédait une instruction raffiné et d’une puissance de travail étonnante ; entreprenant et cruel, , il était d’une obstination qui allait parfois jusqu’au fanatisme. Il entreprit de réaliser un plan grandiose : il voulut raffermir le régime esclavagiste et restaurer l’empire dans ses antiques limites.
Il n’hésita devant aucun sacrifice pour essayer de recouvrer l’empire romain d ’occident. En 535 jusqu’en 555, il démantela le royaume de Ostrogoths et il conquit l’Italie, la Sicile, l’Espagne sud oriental, la Sardaigne et la Corse.
Les provinces occidentales drainèrent un flot de fonctionnaires avides de lucres et Justinien semblait avoir atteint son but. La presque totalité du littoral méditerranéen était reconquise et soumise à l’empire. Le commerce intérieur devint actif. La production de la soie fut mis en route. Constantinople voit s’élever des édifices somptueux comme celle de Sainte-Sophie. Il fait érigeait en (guise d’arc de triomphe) la basilique Saint-Sophie merveille de l’architecture, qui était destiné à
attirer l’orbite de tout l’orient.
Les sortie de l’empereur sont comme des apparitions d’une divinité ; mais tout cet éclat et cette splendeur, qui s’étalaient, avaient été acheté au prix de trop gros sacrifices, au prix de la ruine du peuple.
Une révolte populaire éclata qui reçu le nom de sédition (Nika, en grec : victoire), d’après le cri de ralliement des insurgés.
Nika : la révolte
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Des pierres sont jetées, la ville brûle un peu partout, les réserves d’eau et de vivres s’épuisèrent dans le palais assiégé. Justinien voulait fuir par le Bosphore, mais sur l’insistance de son épouse Théodora, il agit pour une dernière tentative pour reprendre la situation en main.
Justinien fut personnellement témoin du fiasco de sa politique : les revenus tombèrent brusquement et les Perses coupèrent les routes commerciales vers l’Orient. Les Perses saccagent la Mésopotamie, la Syrie et Antioche.
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