Staliniste, car il naquit en Stagyre et à l’âge de 12 ans, il est orphelin. Il est Grec mais pas politiquement, il est le sujet du roi Philippe II de Macédoine et son père est médecin à la cour du roi, ainsi il acquit de ses premières connaissances en médecine et en biologie. À l’âge de 17 ans son père meurt ; alors il part pour l’académie de Platon.
Aristote est ensuite élevé à Athènes à l’école de Platon pour devenir l’un des ses meilleurs disciples .
Aristote confia à ses élèves les divergences entre son maître et lui, il expliquait «j’aime Platon, mais j’aime encore plus la vérité». Durant 20 ans, il s’occupa de dialogue ; ‘le dialogue permet de déterminer la nature d’une réalité en posant des questions et en y répondant’. A la mort de Platon, Aristote est célèbre dans toute la Grèce.
Aristote fonde une école au milieu d’édifices dédiés à Apollon Lycéen, du Grec Lykéos qui de nos jours, devient lycée.
Le philosophe part en ambassade avec Philippe II de Macédoine et à son retour à Athènes,
Xénocrate est mis à la tête de l’école. Aristote voyant que quelqu’un d’autre dirige son école, il choisit de philosopher en se promenant avec ses disciples dans un lieu de promenade qui se situe au Lycée. Le lieu consacré à Apollon. Les membres de cette école Aristotélicienne sont nommés alors Péripatéticiens, du verbe Paripaten qui signifie se promener ; car il enseigne en marchand.
Les activités majeures des membres du Lycée consistent à réunir des informations dans toutes les branches connues du savoir et ainsi Aristote rassemble avec l’aide de ses élèves une collection de cent cinquante huit constitutions et systèmes politiques de différents peuples qui s’étend aussi aux opinions et systèmes de pensées, faisant des Péripatéticiens, les premiers historiens de la philosophie.
Certains disciples sont chargés de domaines particuliers.
Aristote utilisa sa scala (son échelle) fixe en politique, il croyait en un gouvernement d’oligarchie éclairée (une forme d’état où le pouvoir politique est réservé à un petit groupe). Le commun des mortels devait agir avec modération s’il désirait rester heureux. Aussi longtemps que l’on éviterait de tomber dans l’excès, tout irait bien dans l’état, même en politique.
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