On doit la naissance de la science de la civilisation étrusque à Massimo Pallottino qui, dans les années 1940, a montré les secteurs d’intérêt de la discipline.
Des populations originaires du levant (mais la recherche de leur origine reste toujours un échec) débarquent par petits groupes sur la côte d’Étrurie (Italie). Ils s’emparent des hauteurs avoisinantes, ils les fortifient avec des palissades en bois, développent au fils du temps la puissante cité Étrusque.
Les Estuariens tenaient certainement de leurs ancêtres (orientaux) l’affirmation du talent pour l’urbanisation, à laquelle s’ajoute une influence grecque dont ils firent plus tard la connaissance. Cette propension à se regrouper est encouragée par la typographie du pays.
Ils fondent leur première ville à proximité du littoral, grâce à cette impulsion, Rome qui n’était qu’au départ qu’un simple groupe de cabanes, devint plus tard une véritable ville.
Plus tard, les villes étaient indépendantes les unes des autres, puis elles formaient de petits états, qui étaient gouvernées par un chef magistrat que l’on nommé Lucumon.
Les villes situées sur des collines avoisinantes étaient entourées de murailles pour la défense. Les villes étaient carrées, quand les Étrusques fondaient une cité, leurs charrues traçaient un sillon le long duquel allait être bâtis les remparts, et en un certain point, la charrue était soulevée de terre quelques instants pour marquer l’emplacement des portes de la cité.
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