On trouva des sceaux, des tablettes d’inscriptions, pas d’hiéroglyphe, mais une écriture encore plus difficile à déchiffrer. Une écriture qui ne se reconnait pas à ses dessins, mais à des signes finement tracés, détachés les uns des autres, se terminant en pointe, qui faisaient penser à des clous ou à des coins ; d’où son nom d’écriture dite Cunéiforme.
Les Mésopotamiens ignoraient les livres en papyrus, à l’aide de plumes en roseau, ils gravaient leurs signes sur des tablettes d’argile fraîche qu’ils faisaient ensuite cuire dans des fours. Certaines
racontent de merveilleuses légendes, comme celle du héros Gilgamesh.
Ils observèrent la courbe des étoiles, ils remarquèrent que le déplacement des étoiles correspondait à un cycle régulier. Ils repérèrent les étoiles qu’on retrouvait chaque nuit au même endroit de la voûte céleste qui semblaient immobiles. Ils virent dans les constellations des formes auxquelles ils donnèrent un nom.
Ils s’intéressent aussi aux étoiles qui se déplacent sous la voûte céleste ; celles qui s’approchent, car ils pensaient que la terre était un disque rigide, que la voûte du ciel correspondait à une sorte de boule creuse qui, chaque jour tournait au-dessus de la terre, leur étonnement devait être grand que de constater que toutes les étoiles n’étaient pas fixes, que certaines n’étaient pas attachées à la voûte du ciel, et pouvaient naviguer d’un endroit à un autre.
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