A la fin de son règne, il agit en tyran sans aucun respect de la liberté de ses concitoyens, condamnations à la mort, les exils se multiplièrent ; meurtres et suicides ensanglantent la capitale.
Durant les onze dernières années de son règne, Tibère demeure à Capri, une demeure nommée la Villa Jovis, d’où il gouverna sa terreur. Il ne reverra jamais Rome. Il mourut à Misène (ville d’Italie constituée d’un port par Auguste en 27) et le peuple ne cacha pas sa joie.
Villa Jovis du palais de Tibère à Capri et reconstitution
maquette de la Villa
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