

Brunehaut avait un teint d’une blancheur admirable. Ses yeux étaient vifs, elle animée une grâce surprenante que sa taille libre et proportionnée était parfaite. Brunehaut était une beauté et de plus elle parlait le latin.
Frédégonde l’ignoble était au contraire qu’une servante, belle assurément mais qui se hissa jusqu’à la couche de Chilpéric Ier par la ruse et l’assassinat.
Frédégonde règne sur la Neustrie, tandis que Brunehaut règne à l’est, sur l’Austrasie. Elles ont environs 20 ans chacune et elles se vouent une haine mortelle.
Les rivalités de Frédégonde et de Brunehaut

Il ne nous reste qu’une vague impression de cruauté et d’horreur; laquelle des deux reines a la plus mauvaise réputation, laquelle a survécu à l’autre.
Frédégonde et Brunehaut sont les plus cruelles harpies que la marche des trônes Francs n’est jamais comptée.
Frédégonde, poussée, non par une inspiration politique, mais par l’instinct de cupidité qui lui était naturel, conseilla à son époux (Chilpéric Ier) de procéder à un recensement général de biens ; voila donc les hommes du ‘fisc’ lâchés sur tout le territoire de son royaume, le royaume de Neustrie où ils recensent. Mais les collecteurs édictent de nouvelles règles et ils inventent de nouvelles taxes sur les champs, les bois, les maisons, le bétail, les esclaves et surtout sur les terres à vigne.
Les collecteurs
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