Cambyse Ier et son épouse du nom de Nietitis donnent naissance à un fils du nom de Kurus (Cyrus en Grec).
Cyrus est le fondateur et l’architecte de l’empire Perses (l’Iran), qu’il unit en un seul royaume les Mèdes.
On raconte que Cyrus ne buvait que de l’eau du fleuve de Choaspés qui coulait non loin de Pasargades (Persépolis) et au cours de ses campagnes militaires, il emportait ses réserves d’eau dans des brocs en argent. Ses ambitions sont stimulées en l’espace d’une seule année.
Il dota d’un ensemble de constructions au palais royal, d’une salle d’audience et de sa tombe. Dans son territoire, on comptait la Phénicie dont la flotte révélait l’une des prises les plus inestimables et ainsi les Perses devenaient une grande puissance maritime en seulement six années de règne.
Kurus voulut obtenir la vassalité du roi de Lydie (Turquie) du nom de Crésus qui n’accepta aucun compromis.
Monter à cheval, tirer à l’arc, se battre à pied comme sur un cheval. Par groupe de 50 ; ils faisaient d’épuisantes courses à pied, ils supportaient des températures extrêmes et recherchaient leur nourriture dans les détritus.
A l’âge de 20 ans, ils entraient dans l’armée permanente. Le noyau de l’armée était constitué par des soldats de carrière nommés ‘Les Immortels’. Mille d’entre eux formaient la garde personnelle du roi.
Quatre résidences ; Suse et Babylone étaient les cités antiques antérieures à l’empire ; elles constituaient le centre administratif : Pasargades (Persépolis) qui fut fondé par Cyrus, était une ville de couronnement et de fêtes.
La résidence d’Ecbatane avait le rang de retraite estivale.
Cyrus II une réputation de despote
On dit aussi que le roi buvait beaucoup et qu’il n’avait de cesse lorsqu’il était ivre de demander aux gens de son entourage de ce qu’ils pensaient de lui. Étant donné ses colères terribles et le respect invétéré des Perses pour la vérité, les membres de la cour impériale en étaient réduits à lui répondre avec beaucoup de circonspection
L’un de ses conseillers trouva une formule presque idéale, qui fut rapporter ainsi «je ne pense pas que vous soyez l’égal de votre père, car vous n’avez pas encore un fils semblable à celui qu’il a laissé derrière lui en votre personne».
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