Il est républicain (gouvernement des intérêts de tous. État dans lequel le peuple exerce une souveraineté par l’intermédiaire de délégués élus comme le sénat) sans adhérer à la république. Il entend restructurer les rouages de l’état et contenir l’influence du Sénat en lui ôtant la plupart de ses prérogatives.
Sous l’impulsion de Cassius et de Brutus, une armada hétéroclite de conjurés décideront aux Ides de Mars d’éliminer physiquement celui qu’ils considèrent comme le fossoyeur de la république.
Pompée est de 6 ans son aîné. Il guerroie en Espagne quand la révolte des esclaves de Spartacus menace la ville de Rome. C’est au commandant Crassus, l’homme le plus riche de la République, à qui incombe de défaire les troupes hétéroclites de Spartacus. Environ six mille esclaves sont crucifiés sur la voie Appienne et de son côté Pompée revenu d’Espagne écrase le reste des insurgés en Etrurie. Crassus et Pompée forts de leurs victoires briguent le Consulat.
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Pompée et Crassus reçoivent le soutien de Jules César. Le mariage entre la puissance de l’argent et celle de la force armée autrement dit l’alliance entre l’homme le plus riche de Rome et général le plus adulé du peuple, représente pour César un tremplin inespéré vers les plus hautes marches du pouvoir.
Jules César réformateur sans être révolutionnaire et dictateur sans être un tyran, il est avant tout un homme de consensus (accord de plusieurs personnes ; à l’écoute). Son souci est d’instaurer une politique d’équilibre social qui est pour lui le seul garant de sécurité pour l’avenir de la république. Cela étant il a de nombreux ennemis.
Un nouveau péril pour Rome
Il fallut attendre dix ans pour que Rome confiât les «pleins pouvoirs» à Pompée avec mission de libérer la Méditerranée de ces pirates. Pompée y réussit et ce fut un de ces plus grands titres de gloire
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