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8 mars 2016

Premières dissensions familiales Ou Acté et Britannicus De 55 à 56


Dans cette univers clos, qui constituait le palais du Prince, avec ses couloirs, ses bureaux, ses chambres secrètes, ses appartements privés et sa chancelleries ;  Agrippine et ses amis qui surveillaient le comportement politique de ce débutant en la matière qu’était Néron âgé d’à peine de 18 ans, ils se trouvèrent      brusquement dépourvu lorsque le jeune homme piétinant toutes les règles du savoir-vivre des bourgeois romain tomba donc amoureux fou d’une fille affranchit oriental (ancienne esclave achetée surement en Asie)  du nom d’Acté.


En flattant son goût du plaisir et par des secrets inavouables, une femme sans  importance qui sans  faire de tort à personne satisfait les désirs du prince étant donné que son épouse Octavie (la fille de Claude Ier) lui faisait horreur.

Agrippe La Jeune (sa mère) depuis que son fils était au pouvoir et sous la coupe de  Sénèque, elle constatait que son fils lui échappait. Néron qui était donc le fils adoptif de l’empereur Claude que sans elle, (Agrippe) il n’aurait jamais obtenu le principat dont le véritable héritier qui approchait sa quinzième années était le fils de Claude et de Messaline du nom de Britannicus. 

Messaline (femme de Claude Ier) se réfugia dans le camp des prétoriens et demanda au peuple et à l’armée de décider auquel des deux demi-frères le principat devait revenir. Néron comprit le danger d’une pareille menace sachant de plus la popularité de Britannicus.


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