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28 mars 2016

Conséquence et fin proche de Sigebert Ier Ou par la voie de Salomon 575


Sigebert  ne peut se consoler de ses pertes de ses cités alors il envahit brusquement le territoire Austrasien et ce fût de terribles combats. Sigebert avait appelés en plus des troupes barbares d’outre-Rhin. Chilpéric fut vaincu et il alla se réfugier à Tournai. Tandis que  Sigebert entra à Paris et retrouva son fils Childebert et Brunehaut.

Sigebert se rendit à Vitry où une assemblée devait le proclamer roi de Neustrie après avoir proclamé la déchéance de Chilpéric Ier mais hélas le règne de Sigebert en Neustrie fut court car a peine fut il élevé sur un pavois selon la coutume, que deux hommes envoyés par Frédégonde le tuèrent. Donc Sigebert Ier est acclamait; ils heurtèrent leurs épées contre leur pavois, lorsque deux guerriers se présentant pour le saluer lui plongèrent leur couteau dans les côtes. Ils avaient été corrompus par l’ignoble Frédégonde.     

Deux sbires enfoncent dans la poitrine de Sigebert Ier leur scramasaxe (petit sabre à la lame droite trempé dans du poison qui était une arme privilégiée des mérovingiens et de leurs hommes de mains).

L’abbé Germain grondera «voici ce que dit le seigneur par la bouche de Salomon; celui qui aura creusé une fosse à son frère y tombera lui-même».
Effectivement dix plus tard à son tour le jeune Chilpéric Ier mourra assassiné à son tour poignardé après une partie de chasse par un inconnu qui parviendra à s’enfuir.

Deux reines, deux belles- sœurs

  Brunehaut est donc veuve et elle est à la merci de Chilpéric Ier. Elle est sa prisonnière.C’est ici que Brunehaut manifesta son sang royal : passant outre sa douleur, elle offrit à sa sœur aînée le  meurtrier et à Chilpéric Ier son époux son alliance et sa main.  Pour Brunehaut tout est perdu, elle est reléguée.

Mais Dieu lui envoie un amoureux ; un fils de Chilpéric Ier du nom de Mérovée. Un fils qu’il avait eut avec Audovère (la chose ne vaudrait pas la peine d’être mentionnée mais le destin à toutes ses malices). Cette idylle pris un tour plus sérieux, car il épousa Brunehaut. Chilpéric est furieux mais elle réjouit Frédégonde car depuis longtemps, elle cherchait à se débarrasser des fils de son époux !  Elle avait déjà fait tué Théodebert l’ainé et elle tenait maintenant le moyen de faire éliminer Mérovée.

Hélas poursuivi par la haine de Frédégonde, Mérovée est contraint de se faire clerc. Il est tonsuré et proscrit dans un couvent. La ‘noble’ Brunehaut le renvoie. Mérovée est abandonné de tous et il n’a d’autre ressource que celui de prier à un ami de lui passer son épée au travers du corps. Son ami lui rend se service.

Les deux fils de Chilpéric Ier moururent, il ne resta plus que la fille d’Andouère (‘première servante ‘de Chilpéric Ier) qui résistée à Frédégonde.

Elles se battaient ; un jour, Frédégonde ouvre un coffre plein de bijoux qu’elle brassées les pierreries comme fatiguée de ces mouvement en disant «je suis lasse, met-y-toi-même les mains et prends ce que tu voudras».
La fille s’avança se penche pour atteindre le fond et Frédégonde abaisse le couvercle qu’elle pressa sur le cou de la fille. Par chance, il lui vint du secours.



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